8 - Lagaffe est lâché

 

planche 671« Je lui ai foutu la paix… Il était chiant c’est vrai, mais bon… Fallait le supporter (670, 672, 677). Ce qui m’a énervé à l’époque c’était qu’il avait réintroduit son cactus…(678), et ses gags vaseux avec les téléphones (679) étaient insupportables… Pourtant, il était toujours attachant et on passait du temps avec lui Lebrac et moi (681, 682), quand Melle Jeanne ne pouvait pas sortir avec lui.
Au boulot je lui demandait pas grand chose… Je lui foutait la paix, il me foutait la paix (686), sinon, je ne répondais pas de moi.
Mais il était imprévisible, comme un gamin, ça me foutait les jetons das fois (691), et ça me rendait d’ailleurs de plus en plus grossier (693).

Oh, je dis pas qu’on ne s’est pas moqué de cette attirance entre Jeanne et Gaston ( 699), mais c’était gentil… »

Le cap de la 700ème était passé, et Gaston fournissait de moins en moins de travail pour Spirou. Par contre, il était d’une imagination fertile pour tout le reste, comme le fameux mur qui a des oreilles (703), la porte automatique (705) le plâtre radio, le fauteuil gant de boxe (711)..

planche 708« Il ramenait même du boulot au boulot… Il voulait réparer le pic-up de sa tante Hortense, et il essayait tous les disques pourris de celle-ci (710)… Je n’ai jamais vu sa tante, mais elle doit lui ressembler.. »

 

Après un long intermède, de Mesmaeker revint chez Spirou pour tenter de signer des contrats (717). Prunelle et le reste de la rédaction oeuvrèrent pour que Gaston ne mette pas son grain de sel. Mais cela échoua é chaque fois, que ce soit à cause des plantes tropicales (717), du ventilateur Flagada(718), des têtes réduites de Franquin, de la lampe à Will (721), du café (722), de la faute aux copieuses (723), ou de Rhavikan Tiroupi (730,731)…


 

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