4- Lagaffe s'en fout

 

Prunelle se détacha un peu de Gaston, et se plongea dans son propre travail. M. Boulier tenta de reprendre en main cet esprit revêche (515,520), mais Gaston était incapable de mesurer la portée de ses actions. 

(521) Prunelle ne voulait pas jouer le rôle du censeur (526), mais le jemenfoutisme de Gaston ne pouvais pas le laisser indifférent (527,528), malgré tout le travail qu’il devait fournir pour que le Journal de Spirou paraisse chaque semaine (530).

 « On avait beau prendre toutes précautions (534), il cassait tout ! Sans malice. Boulier de décharga de Gaston, et c’est moi que l’on chargea de diriger le gaffeur (541,544). Il n’avait plus qu’une seul chose à fair : répondre au courrier des lecteurs, et tenter de rattraper son retard. (545) Et cette chose si simple, il ne la faisait pas… Il m’agaçait tellement que j’étais souvent pris de cette envie de tout lui balancer à la figure, de la peinture (541) ou même ce vase de chine (548) qui faillit me coûter ma place. »

 

Mais le courrier n’occupait pas l’esprit de Lagaffe, qui à cette période inventa des tas de choses comme le trombone à coulisse à bombonne (553) ou la machine alimentée par la force humaine (554), le radio réveil (555), le radio-téléphone (556), etc … et surtout : le roupillon au bureau (559,560).




 

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