 |
||
|
||
|
A
cette époque, Gaston n’avait pas encore d’occupation précise au sein
de la rédaction. Fantasio lui donnait de menues bricoles, et tout se
passait plutôt bien dans une atmosphère bon enfant. Il
travaillait bien avec Lebrac, et Gaston ne les encombrait pas
(242), sauf dans l’ascenseur (257). Ils le trouvaient même plutôt
drôle, même s’il agissait sans réfléchir et diffusait le virus de la
grippe asiatique à tout le personnel de la rédaction (247). Prunelle
ne supportait pas la manière qu’avait Gaston d’aborder la musique
(251), même avec des instruments « classiques » (286), ou
« hors normes »(307). Lebrac était d’accord avec lui. Il
est vrai qu’ils ont été victimes (340,.348, 362 ou 425), le témoins
ou les bénéficiaires(410) involontaires des idées farfelues du gaffeur.
Mais ils arrivaient encore à la supporter.
|
||
|
||
Léon Prunelle est
apparu comme rédacteur au Journal de Spirou le 19 juillet 1962 dans le
numéro 1266 (gag 207). Son arrivée correspond avec celle d’Yvon
Lebrac. Ils travaillent d’ailleurs dans le même bureau (237).
Ce
retrait vis à vis de Gaston, a permis à Prunelle de s’installer dans
cette rédaction, à l’abri de l’ahuri. Gaston fut chargé de
s’occuper du courrier (408) que Prunelle lui apporta tous les matins.
Qu’en faisait-il ? Mystère !